Saint-Augustin cite « Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n’en lisent qu’une page ».
Cette citation est à appliquer au travail à l’international. Aujourd’hui, en tant qu’ingénieur, quel que soit le projet sur lequel on travaille nous ne pouvons pas rester dans notre coin : naître dans une ville, grandir dans la même ville, étudier dans la même ville et s’installer travailler dans la même ville quand on a la chance de pouvoir accéder à un cursus d’ingénieur en France. Alors oui, s’expatrier, c’est d’abord quitter un environnement familier, des amis et des proches, mais nous avons cette chance, grâce à l’INSA, de pouvoir partir et je pense qu’il faut la saisir, cela ne peut être que bénéfique dans l’entreprise dans laquelle nous travaillerons plus tard.
En 2016, j’ai effectué un stage de première année au Brésil et je suis partie étudier 6 mois en Norvège (programme Erasmus) dans le cadre de ma mobilité internationale. Au-delà de nous apporter des compétences linguistiques, de l’adaptabilité et de l’ouverture d’esprit, qui sont utiles dans le monde de l’entreprise, ces mobilités nous apprennent à avoir confiance en soi. Partir en mobilité internationale en tant qu’ingénieur est une expérience que je recommande vivement et grâce à laquelle j’ai eu le déclic pour voyager : depuis 2016, je suis partie à l’aventure en Argentine, en Islande, au Maroc, en Malaisie, au Guatemala, … Alors, qu’attendez-vous ?
Laura VENEAU – Diplômée MRI promotion 2018